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CONSEILS D’USAGE

Si vous êtes sur cette page cela voudrait dire que vous avez passer avec brio les trois étapes que sont : L’ETUDE DE DOSSIER, LE CHOIX DE L’ETABLISSEMENT AINSI QUE LA DEMANDE DE VISA. Ici nous vous fourniront ainsi donc des conseils d’usage pratique qui vous permettrons d’être prêt physiquement, psychologiquement et moralement.

1 À quoi vont ressembler les cours ?

Avant de partir, renseignez-vous sur le contenu et l’organisation des cours que vous allez suivre. « Un intitulé sympathique à première vue peut se révéler en fait un cours décevant. Or si vous choisissez une matière, c’est pour le semestre entier ». Autres éléments à vérifier : les prérequis demandés par les enseignants, le mode d’évaluation (QCM, dossier à rendre, présentation orale…) et d’enseignement (discussion, cours magistral...), histoire de ne pas être trop déstabilisé.

22 Prendre contact avec sa future promo

Grâce à Internet et aux réseaux sociaux, vous pouvez prendre contact avec les étudiants qui seront avec vous en cours. À l’image de Damien qui, avant de partir à Berkeley, a intégré un groupe Facebook créé par un étudiant thaïlandais de sa future promo. « On a pu s’échanger plein d’infos sur les cours, les logements, les forfaits de téléphones portables, les comptes en banque à l’étranger, et commencer à nous connaître », raconte-t-il. C’est plus rassurant !

33 Choisir un toit

Campus, colocation, appartement privé, chambre chez l’habitant : les possibilités pour se loger sont nombreuses et variées. Choisissez la formule qui vous convient le mieux, selon que vous privilégiez le calme, la proximité avec le centre-ville ou l’ébullition du campus. Là aussi, faites un tour sur les forums et demandez conseil aux étudiants qui résident déjà sur place !

UNE FOIS SUR LES LIEUX

44m Se faire connaître des professeurs

Dans beaucoup de pays notamment anglo-saxons, les enseignants sont plus accessibles qu’en France. Profitez-en pour aller les voir, leur poser des questions, prolonger une thématique vue en cours. « Il n’était pas rare de voir un enseignant nous proposer d’aller boire un café ou déjeuner, se souvient Emmanuelle. On a tout intérêt à profiter de ces instants privilégiés pour leur expliquer nos motivations, nos aspirations et aussi nos difficultés. »

5 Vous avez la parole !

Si la France est championne des cours magistraux, ce n’est pas forcément le cas partout. Dans les pays anglo-saxons ou scandinaves, les cours consistent surtout en une discussion ou un débat. Une approche qui a surpris Marie partie étudier en Norvège : « Le prof intervenait peu et laisser circuler la parole entre les étudiants. Il y avait beaucoup de liberté aussi dans les dossiers qu’on devait rendre. Donc autant se préparer à avoir l’esprit d’initiative, de l’inventivité, de la créativité… »

6 Tenir un journal

Faire ses courses au marché, se promener dans le quartier des affaires, lire le journal local : toutes les occasions sont bonnes pour apprendre d’une culture et d’une société différente, y compris en dehors des cours. Serge Guarino directeur des programmes internationaux de l’ICD recommande à ses étudiants de tenir un journal de bord : « notez ce que vous observez, les pratiques qui sont différentes de chez vous, il s’agit avant tout d’être curieux ! »

7 Ouvrir ses horizons

Beaucoup d’universités étrangères organisent à l’heure du déjeuner ou le soir, des conférences et des rencontres avec des professionnels. Cela peut être l’occasion de découvrir d’autres aspects du pays et de la culture dans laquelle vous vivez. Emmanuelle se souvient par exemple à Columbia être allée écouter des juges de la Cour suprême et des experts en droit prestigieux. Une manière d’enrichir sa culture personnelle, et qui sait vous pourrez peut-être batir votre réseau !

8 Participer aux associations sportives, culturelles

Une bonne façon de réussir son intégration est de participer aux activités du campus. Entre le sport, la culture, les sciences, les soirées : il y a généralement l’embarras du choix ! Mais vous n’êtes pas obligé de vous limiter à l’université. Donatienne qui est parti 1 an à l’université Notre-Dame aux USA a choisi de donner des cours de soutien scolaire dans un quartier défavorisé du centre-ville. « J’y ai rencontré une réalité bien différente de celle que je voyais à l’université », raconte-t-elle.